La cyberassurance de Chubb peut vous aider si votre enfant est victime d’une cyberintimidation, rembourser des services de consultation, offrir certaines mesures de sécurité pour la faire cesser et même vous procurer une assurance responsabilité civile si votre enfant est l’auteur d’intimidation.
Plus de la moitié des adolescents ont été victimes de cyberintimidation, et 25 % l’ont été à plusieurs reprises. Cela s’explique en partie, parce que 80 % des jeunes pensent qu’il est plus facile de s’en sortir en ligne qu’en intimidant en personne.*
Grâce à une police cyberassurance de Chubb, vous avez accès aux ressources qui peuvent vous aider à mettre un terme au harcèlement de vos enfants en ligne, leur permettre de surmonter le traumatisme et rendre votre maison sécuritaire à nouveau. Cette assurance peut même vous aider à vous protéger et à faire face aux répercussions lorsque c’est votre enfant qui engendre la cyberintimidation.
Que pouvez-vous faire?
En tant que parent, votre première pensée sera peut-être de confisquer le téléphone de votre enfant ou de lui interdire l’accès à Internet; toutefois, plusieurs experts suggèrent qu’il est préférable de parler avec lui et de surveiller activement ses activités en ligne ou sur son téléphone cellulaire. Voici quelques suggestions pour protéger votre enfant et éviter qu’il ne soit victime de cyberintimidation, ou qu’il ne devienne un cyberintimidateur lui-même :
Mettez-vous à la place de votre enfant
Si vous comprenez les technologies qu’il utilise et les problèmes qu’il vit, votre enfant sera plus enclin à vous parler de ce qui lui arrive ou de ce qui se passe autour de lui. Plutôt que de lui faire d’emblée des reproches, faites un parallèle avec l’actualité pour aborder la notion de vie privée ou pour lui expliquer qu’il ne faut jamais envoyer un message texte ou une photo qu’il regrettera d’avoir envoyé ni publier des rumeurs, des photos ou des messages blessants en ligne.
Gagnez sa confiance
Encouragez votre enfant à vous parler de ce qu’il voit en ligne et des personnes avec lesquelles il communique. S’il n’est pas à l’aise de vous en parler, encouragez-le à se confier à un autre adulte en qui il a confiance – et en qui vous avez, vous aussi, confiance. Dites-lui que, s’il est victime de cyberintimidation, il ne sera pas puni et rassurez-le en lui disant que ce n’est pas de sa faute.
Aidez-le à comprendre votre point de vue
Expliquez à votre enfant que votre devoir, c’est de le protéger, ce qui passe notamment par la surveillance de son utilisation de son téléphone cellulaire ou d’Internet. Dans le cadre d’un récent sondage, lorsqu’on a demandé à des adolescents comment ils se sentiraient si leurs parents les surveillaient, 62 % d’entre eux ont répondu qu’ils seraient d’accord et 75 % ont dit que ça ne les dérangerait pas.
Fixez des limites
Aujourd’hui, même les tout-petits ont accès à un téléphone cellulaire ou à une tablette; il est donc plus important que jamais d’établir des règles claires sur l’âge à partir duquel votre enfant peut commencer à se servir d’un appareil mobile sans que vous sachiez exactement ce qu’il en fait. Les créateurs de l’application TeenSafe suggèrent que l’utilisation d’un iPad ou d’une tablette peut commencer entre 6 et 9 ans, et celle d’un téléphone cellulaire, sous supervision, entre 10 et 12 ans.
Établissez des conditions pour l’utilisation de son téléphone intelligent
Avant de donner à votre enfant son propre téléphone cellulaire, mettez-vous tous les deux d’accord sur les conditions d’utilisation – et respectez-les. Par exemple, il peut s’agir de lui interdire de garder son téléphone dans sa chambre ou pour toute la nuit, de télécharger des applications sans votre autorisation ou même de lui demander de laisser le téléphone dans une pièce commune. Vous devez aussi penser à des conséquences claires s’il brise les règles ainsi qu’à créer ensemble des mots de passe pour son téléphone et ses applications.
Pensez-y à deux fois avant de lui enlever son téléphone en guise de punition
Les enfants qui possèdent un téléphone cellulaire sont parfois plus indépendants. De plus, ils tissent des liens plus facilement avec leurs pairs et peuvent joindre leurs parents en tout temps, et vice-versa.
Montrez-lui l’exemple
Aux yeux des jeunes, Internet est une façon de rester en contact avec leurs amis. Il est également possible qu’ils se tournent vers le monde virtuel lorsque leurs besoins socioaffectifs ne sont pas comblés. Pour éviter cette situation, vous pouvez prêcher par l’exemple en vous déconnectant vous aussi. Accordez toute votre attention à votre enfant et planifiez une période sans téléphone, en famille, pour que vous puissiez avoir de vraies discussions.
Assurez-vous d’avoir la protection qu’il vous faut
Si, en dépit de tout, votre enfant subit tout de même de la cyberintimidation, il pourrait se sentir bouleversé, nerveux, déprimé… ou pire encore. Vérifiez que vous avez bien souscrit une assurance [lien vers la page sur les cyberrisques] qui vous permettra d’établir certaines mesures de sécurité, de donner accès à votre enfant à des services de consultation, et même de vous protéger si votre enfant est le cyberintimidateur.
Avertissement : Ces renseignements sont fournis à titre indicatif. Les produits ne sont pas nécessairement offerts dans toutes les provinces ou tous les territoires. La garantie réelle est régie par le libellé du contrat d’assurance émis.
*Sources : « 11 Facts About Cyber Bullying, » www.dosomething.org, « The TeenSafe Parenting Guide to Tech Safety, » www.teensafe.com, et « Bullying Statistics, » www.bullyingstatistics.org
Veillez à vous procurer une protection pour les choses qui vous tiennent le plus à cœur.
Nous vous aidons à prévoir le coup – et à rester informé – grâce à ces trucs et conseils utiles.